lundi 21 octobre 2013

Premières impressions sur Scalar

N'ayant pu résister à la présentation alléchante qui nous a été faite ce matin, j'ai tenté une première approche avec le fameux Scalar.
Tout d'abord, il est très facile de s'inscrire et de créer un ouvrage. C'est un système qui ressemble beaucoup à celui des blogs du type hypotheses.org en plus sophistiqué mais on retrouve le même principe du dashboard (gestion des propriétés du livre, des utilisateurs, des pages, médias, annotations...), la page d'accueil avec l'édition du livre qui ressemble à l'édition de billets sur un blog mais là encore avec plus de fonctionnalités et de connexions possibles entre les pages, notamment avec les "paths" qui permettent d'articuler les pages, les médias et les annotations avec la possibilité de connecter les "paths" qui renvoient à un même contenu.
Autre petit détail, les pages éditées et les médias gérés ont un historique qui est conservé et qui permet de revenir à des versions précédentes.
Le guide est très riche et bien expliqué. Après c'est à chacun de piocher un peu dans ce qui l'intéresse par rapport à son utilisation du média et la flexibilité qu'il ou elle attend.

Omeka: tips from Myriam Posner

Pour celles et ceux qui explorent Omeka, une brève intro sur le Blog de Myriam Posner (source: Liuying)

The Nicest Kids in Town

 The nicest kids in town  est un exemple d'utilisation de Scalar pour un récit fondé avant tout sur le texte. Ici, pour mémoire, les notes de bas de page sont gérées manuellement. Ce n'est pas central, mais c'est une donnée à prendre en compte. Les sources visuelles viennent ici en appui au texte.


dimanche 20 octobre 2013

Scalar 2

Juste quelques éléments de réflexion après la lecture de l'article cité dans mon billet précédent. La plateforme SCALAR semble apporter un environnement approprié à l'édition en ligne qui est le point de départ du projet. Sans l'avoir testée direcement, on ne peut se prononcer sur un certain nombre de points qui restent à élucider dans notre perspective de récit visuel.

A l'évidence, la plateforme permet l'intégration de toutes sortes de sources visuelles dans des formes de récit à base de texte. Les exemples fournis soulignent une certaine centralité du texte. En même temps, SCALAR ofre la possibilité d'une multiplicité de "chemins" (path) en prenant appui sur différents fils (les mots des textes, les mots des métadonnées, etc.), offrant ainsi des parcours multiples qui détachent le lecteur de la contrainte posée par tout récit. Enfin, pour résumer brièvement, l'apparence ou la disposition même des éléments peuvent varier selon les modèles (template) d'affichange choisis. Ceci est loin d'être une affaire d'esthétique. C'est bien le regard et la perspective qui se trouvent modifiés radicalement. La dimension "visualisation" des données qui sont injectées dans la plateforme est remarquable.

Parmi les questons qui me restent à l'esprit, qui n'ont pas trouvé réponse à ce stade dans la présentation de SCALAR ou l'article évoqué ci-dessus:
- gestion des notes (footnotes, endnotes) dans les textes;
- images animées: capacité à "citer" un extrait précis (la référence à des URL de films sous Archive.org ne résoud pas la question d'un URI précis pour un segment précis);
- articlulation avec une base de données existante (objets, métadonnées), dans mon cas Virtual Shanghai, mais sans doute a priori possible;
- problème de la dépendance envers des ressources extérieures et de leur stabilité;
- et bien sûr la capacité à développer des récits visuels selon des finalités et des modalités variées, telles que nous avons commencé à discuter.

En clair, SCALAR apparaît comme une surcouche très sophistiquée susceptible d'exploiter une infinités de sources en ligne à des fins d'édition, et donc de création de connaissances, dans un environnement numérique.

SCALAR

Pour approfondir une des pistes proposées par Cécile, j'ai trouvé cet article à travers le blog lié à SCALAR dont la lecture pourrai tnous être profitable "After the document model for scholarly communication: some considerations for authoring with rich media"

samedi 19 octobre 2013

Designing History : l'apport du design et des designers à la production et la transmission des savoirs historiques


Deux références originales sur les apports possibles du design et des designers à la construction des récits historiques, la production et transmission des discours historiques : 
Gilles Rouffineau et son équipe réfléchissent activement à ces questions, et ils ne sont pas loin de chez nous (Grenoble - Valence...). A suivre... 

Bonne lecture ! 

vendredi 4 octobre 2013

Post Session R-M (I)

Bonjour à tous,

      Merci pour vos informations divers qui sont vraiment intéressantes et enrichissantes. Les trois sites proposés par M. Henriot réfléchissent très bien la notion de « récit narratif» en fournissant trois formes différentes. Je trouve ce que fait par MIT le plus séduisant au niveau pédagogique mais avec pas mal d’éléments divertissants. C’est aussi la plate-forme la plus « user-friendly» où l’on peut trouver des documents téléchargeables avec des images (parfaitement mise en page) et des textes. C’est aussi où des différente formes de narratives se croisent (pour certains sujets, à côté d’un texte extrêmement long, on peut trouver une série d’image comme une « mise en abyme»). C’est donc une plate-forme où l’on apprend des savoirs systématiquement et décrire une période d’histoire entièrement.
MIT Visualizing Cultures n’est pas une base de donnée, mais plutôt l’ensemble de présentations visuelles, conviviale et variés. Les auteurs utilisent des documents diversifiés, des photos, des publicités, des cartes postales, des extraits de magazine/journal, des dessins, des objets d’art et des segments cinématographiques. L’usage d’une scène d’un film japonais mis à côté afin de montrer la mode à l’époque me fait penser comment on intégrer l’image animé dans notre site dans le futur
.

J’y pense trois façon :
·Employer des extraits cinématographiques en vue d’éclaircir un tel sujet, comme ci-dessus.
·Le film s’explique : analyser un segment/ une scène / une séquence / un film entière important(e) en détail.
·La juxtaposition et la comparaison : afin de présenter une évolution / une invention / une spécialité / un développement, on peut juxtaposer plusieurs écrans avec des défilement de films choisis. Par exemple, les séquences extraits de deux films qui presentent un même movement ou une situation / un sujet similaire.
Pour réaliser cettes fonctions, j’ai exploré Lignes de Temps, logiciel mentionné par Cécil dans son courrier précédent (Merci beaucoup ! ). Ici, quelques mots sur ce logiciel après mon première essai :
Lignes de Temps: Un outil se represent d’une manière graphique du temps qui permet les utilisateurs de questioner les films en permettant de faire apparaître des structures d’un film dont nous sommes pas forcement conscients lors d’une séance de projection.



Deux types d’outils principaux :
I.« Plan par plan» :
·Une navigation : facilité de trouver une scène, un plat et de localiser précisément un moment de dialogue.
·Affichage toutes les structures narratives d’un plan : axe de caméra, échelle de plan, lieu, movement de caméra, personnages...
·Mots clés : Lingnes de Temps peux visualiser tous les plans qui conviennent un tel mot clé. Par exemple, nous pouvons examiner à la fois tous les plans qui utilisent le gros plan, ou bien tous les plans avec le même personnage qui apparaît.
·Descriptif : les détailles peuvent aussi être ajouteés en texte libre sur la ligne, le titre du segment, le commentaire, ect...
·Ligne de temps personnelle : Nous pouvons même créer notre propos ligne de temp afin de faire une petite présentation avec des extraits d’un film.



II. « Bout à bout » :
·Réaliser des parcours temporels, y compris des textes, des images, des éléments sonores sur un ou deux écrans simultanément. Cette fonction nous permet de faire comparaison de dexu films ou exposer deux extraits thématiquement similaire.

Je trouve ce logiel très utile pour analyser un film précisément mais ne sais pas comment peut-on installer tel logiciel sur notre site, ça pose le problème technique.
En ce moment, donc, c’est l’heure d’agir. J’aime bien aussi le nom « FBI », mais je pense que ça peut être juste un jeu de mot... « Shanghai Visible », qu’est-ce que vous en pensez ? Trop simple, peut-être...Quand à un blog, je propos Tumblr, une communauté en ligne très conviviale (comme twitter, mais on peut ajouter des textes plus longues). Ses avantages : l’appli déjà existe, accessible en Chine, image orientée...
Je voudrais bien continuer ce projet avec vous et j’attends vos réponses suivantes !

Liuying

Notes Session R-M (II)

Ci-dessous mes notes "brutes" (désolée si c'est illisible) pour que vous puissiez ajouter ou corriger des éléments avant de les passer à la moulinette "Mind Mapping" et de les mettre sur Excel - voir aussi fichier Excel qui résume : 

I. Une plateforme à deux dimensions - deux espaces/dimensions à distinguer et prendre en compte : 

1) Base de données : les matériaux, les images : image fixe ; image mouvante (film), BD ou story board de film
2) Espace numérique : visual narrative, mots (distinguer métadonnées et informations "brutes" sur la source vs récit historique, discours de l'historien construit à partir de l'image ; comment articuler textes/images




1) Base de données – question documentaire – question des sources / documents : comment gérer les éléments 


Besoins : l'idée générale est d'avoir la possibilité de replacer l'image individuelle dans ses multiples contextes d'apparition, à la fois dans la base de données et dans l'espace numérique 
(a) dans la base de données : 
  • faire apparaître le texte ou non, et choisir le format du texte à dérouler (en termes de contenus et de forme/structure) ; deux solutions possibles : 
  • par clic droit ou gauche
  • par glissement - en faisant glisser le curseur sur l'image 
  • revenir au fichier source et/ou au document d'origine et inversement (va-et-vient), une fois l'image individuelle « retraitée » ou « retravaillée » : accompagnée de textes / insérée dans un visual narrative (VN) / intégrée dans une collection (set) 
(b) dans l'espace numérique (cf. plus loin) : VN, collections - "sets", séries... 
Solution globale pour replacer dans les contextes : 2 modèles/schémas de visualisation proposés qu'il faudrait pouvoir articuler
  • « galaxie » - constellation (suivant une logique "réticulaire") - sur le modèle de IVS 
  • « pellicule » - déroulement - film (suivant une logique plus "linéaire") : il faut maintenir la possibilité de dérouler le "narrative" 

2 autres besoins :
  • jeux d'échelles / zoom et dezoom / focalisation : isolement de fragments d'images = des motifs, et comment gérer ces fragments d'images ; avoir la possibilité de zoomer et dézoomer, naviguer entre vue d'ensemble et détail, micro et macro
  • besoins spécifiques au film/images mouvantes* :
    • coordination son/image
    • sélection/isolement de séquences : manuelle ou automatiquement générée (ex Spielberg et archives sur les juifs). 
*NB Distinguer trois types d'images mouvantes/films :
  • documentaires (description - construit) /
  • fiction (invention)
  • film d'archives (pas construit)

**

2) Espace numérique - question historiographique : question de l'écriture, du récit, de la narration : quelles formes de récit, comment les produire, comment articuler doc sources entre eux et images/mots (écrit/oral) ?

Tableau Excel – feuillet 2

Quelles relations – ordre – hiérarchie entre image source/discours, récit historique ? L'image point de départ et cœur de l''analyse historique vs l'image point d'aboutissement et simple illustration (« cerise sur le gâteau » de l'historien) de la démonstration et de l'argumentation ?
F deux usages/fonctions/statuts de l'image, deux « cheminements » :
  • partir de l'image pour construire le récit (l'image comme point de départ et de réflexion)
  • arriver à l'image : écrire le récit d'abord puis utiliser l'image pour prouver ou illustrer (l'image comme aboutissement, décoration, illustration) (moins intéressant)

3 pistes d'écriture :
  • écrire un récit (textuel) à partir d'images sources ;
  • écrire un récit visuel à partir d'images ;
  • écrire un récit visuel à partir d'un texte (document textuel)

Besoins - possibilités narratives : 
(a) concernant l'articulation et les relations entre les images – les documents sources entre eux : avoir la possibilité de choisir entre plusieurs formes et logiques de récit :
  • des séries autogénérées, proches du moteur de recherche (à partir de mots-clés vs catégories) vs séries générées par le chercheur, de choisir les critères (images de même natures/natures différentes) ; 
  • des formes inspirées de la BD : roman photo / graphic novel / BD "classique" vs BD numérique empruntant parfois au jeu vidéo ou film
  • deux logiques :
    • narrative - récit (linéaire - démonstration – consiste à hiérarchiser et privilégier un point de vue) vs
    • itérative - itinéraire (arborescent - exploration – consiste à laisser au "lecteur" la possibilité de naviguer entre plusieurs hypothèses et points de vue)

(b) concernant les articulations images/textes : avoir la possibilité d'ajouter du texte on/off voire de la voix (ou son, bruits (de ville...), musique) on/off également
= L'outil à développer devrait permettre d'articuler et combiner ces différentes possibilités

***

II. Retours critiques sur les outils et réalisations antérieurs - Virtual Shanghai 

Point de départ de la réflexion : retour sur les visual narrative sexpérimentés sur Virtual Shanghai : on avait 3-4 types de VN, obéissant à 3 ou 4 types de logiques : 
1) logique de défilement des images sous forme de promenade sur le Bund : avec un texte de présentation global, un titre, éventuellement du texte
2) logique sans texte - images seules : possibilité de se déplacer dans l'image, de zoomer, dézoomer : mais reste limitée à l'image fixe : simple : VN racontant par les images seules la transformation du Bund ; il faudrait en plus pouvoir cliquer sur les bâtiments pour faire apparaître d'autres informations : distinguer information SUR/DANS l'image ; il faudrait pouvoir sélectionner sur la photo un élément qu'on pourrait voir ailleurs ; l'argument est implicite 
3) logique composée et composite : mélange de documents de diverses natures (plan, peinture) ; pas de texte ; pb de lisibilité car doc trop petits ; usage des couleurs pour visualiser les mutations de l'espace urbain (apparition des banques...) - un récit chromatique en somme 
(4) logique sérielle "analogique" - "associative" ou "intuitive" - fondée sur l'association d'idées ou d'images : la série des "femmes" (réalisée par C. Henriot) : juxtaposition d'images sans mots sur le principe de l'analogie pour susciter des effets d'échos, de résonances chez le lecteur ; des va-et-vient entre photos/publicités-calendriers/photos anciennes : pose la question de ce qui fait le lien entre les images, qu'est-ce qui fait sens ? Des liens de natures différentes : la technique ; la nudité ; la pose... Jeux de mots dans les légendes : ex "still" évoque à la fois image fixe, pose immobile et pieds bandés (qui limitent les mouvements et enferment dans une situation sociale) vs "animated" (mouvement physique et sociale des étudiantes) puis idée de montrer la métamorphose, le passage de l'immobilité à la mobilité (shanghaïenne traversant la rue de manière décidée, isolée sur la photo)
= ce rappel fait ressortir les limites et apports des outils "anciens" et permet donc de dessiner des pistes d'amélioration : 
Limites de l'outil : on ne peut pas :
  • ajouter de textes autrement que dans une boîte de textes ;
  • choisir entre texte apparent/non apparent ;
  • ajouter une voix off ou des sons ou bruit de fond
L'intérêt de l'outil : les documents sources sont dans une base de données, on peut les retrouver facilement, interchanger les images...le visual narrative obtenu n'est pas figé, mais peu être retouché et réactualisé à partir de la base ouverte.
Trois composantes dans un récit visuel :
  • le texte (mots écrits) : pouvoir le mettre on/off
  • la voix ou le son (mots ou bruits oraux) :pouvoir le mettre on/off
  • le visuel : on ne peut pas l'effacer car il est au cœur de notre démarche 

     

La bande dessinée comme source d'inspiration : en tirant profit de la diversité, des différents « genres » ou modèles possibles
  • graphic novel (plus proche du dessin et de la BD « classique »)
  • roman photo (plus proche photographie)
  • BD numérique (aux confins de la BD, du dessin, du film, du jeu vidéo...)

*** 
Autres pistes/supports : développer des applications sur tablettes ou smartphones

Notes Session R-M (I)

Bonsoir à tous-tes, 

Suite à notre réunion brainstorming d'hier, voici comme promis quelques suggestions de nom pour notre atelier : 
  • Visualiser l'histoire/Visualizing History 
  • Histoire(s) visuelle(s) (en hommage à Gunthert et pour jouer sur l'ambiguïté du mot "histoire(s)" en français : à la fois passé/réalité historique ; récit(s), narration (écrire/raconter des histoires) (dimension historiographique) ; discipline historique, métier des historiens... (dimension épistémo...) 
  • l'oeil de l'histoire/de l'historien/de Clio, qu'on peut aussi décliner en "le clin d'oeil de l'historien" ou encore les yeux/pupilles/regard(s)/lunettes de l'histoire/historien(s), le kaléidoscope de l'histoire ou l'histoire dans/par/à travers les yeux... etc. bref dérouler la métaphore optique… avec en guise d'illustration ou d'emblème un bel oeil de cyclope ou d'Osiris égyptien … ? 
Quelques références bibliographiques (on pourrait d'ailleurs faire une rubrique "bibliographie - webographie - ressources" sur le futur site ? et/ou créer un groupe Zotero ad hoc

Gunthert - Culture visuelle  : http://culturevisuelle.org/ - voir la page : http://culturevisuelle.org/allblogs pour une liste de ressources... et source d'inspiration / voir aussi le volet "Cinémadoc" : http://culturevisuelle.org/cinemadoc
Références BD
  • Professeur Cyclope : http://www.professeurcyclope.fr/ : ex d'application sur tablette/support numérique
  • Lna Morandi - projet Klash : http://www.lna-morandi.com/ : pour un support "hybride" entre BD, graphic novel, jeu vidéo / image fixe et mouvante / digital born narrative ; à mi-chemin entre le "narrative" et "l'itinerary" (laisse le choix au lecteur) 
  • La Revue dessinée : http://www.larevuedessinee.fr/ : pour voir comment la "réalité" (historique/actualité) peut être "mise en images" ou mise en BD - un exemple aussi d'adaptation sur support numérique (tablette et à terme smartphone) si l'on envisage de développer une application
  • Les Autres gens : http://www.lesautresgens.com/spip.php?page=sommaire&hz=1380330445 : série de BD en ligne : une source d'inspiration pour nos "visual narratives" ? 
  • Plastic Dogs (en allemand) : http://www.wagenbreth.de/projekt.php?nummer=177 
  • Web Trip : BD lyonnaise sous forme d'application digitale (tablette) et qui fait appel "au peuple" (une forme de crowdsourcing ou de public history…) :  http://www.webtrip-comics.com/fr/ : gratuite en plus… : la notion de "saison" pourrait être reprise pour nos récits/séquences de films ou visual narratives… 
  • Julien Falgas - études critiques sur la BD : sur la narration, le récit et l'histoire dans la BD : http://julien.falgas.fr/ 
Cécile

C'est parti!

Au début, nous devons remercier Cécile de faire beaucoup de travail pour établir cet blog et le groupe de Zotero.

Pour notre site, je pense que il doit avoir trois parts d'après la première réunion: Film, BD, et Image ou Photo. Pour que ils ont ses caractéristiques, je conseille que nous pourrions construire le site comme la basse de donné comme Actos. Ils ont trois basse de données indépendantes qui sont bien dessinés selon le unique demande des trois objets (action, genealogy, et source) mais entre les trois basse de données, on peut aussi établir la connections. En plus, les trois basse de données ont le même style de la conception. C'est important pour notre site parce que les trois sources visuelles doivent bien dessinés et rangés d'après ses caractéristiques dans chaque part de notre site et nous ne voulons pas que les utilisateurs doivent souvenir trois livrets de différents systèmes quand ils utilisent le site. Je suis sûr que plus part des historiens préfère à souvenir les livres que les livrets.

Donc je vous demande est-ce que on pourrait utiliser FIREMAKER ou quelque chose comme ça à faire le site? C'est bien pour écrire et présenter le détail qui est très important pour les chercheurs et cet logiciel est assez flexible de changer dépendant nos avis. Je sais pas encore que comment on peut ajouter l'attachement et comment mais je crois que c'est facile à trouver une solution.


Et il y a une chose que nous ne pouvons pas ouvrir, même si l'on doit réfléchir tous les détails, tous les éléments,  toutes les possibilités, ce sont vraiment une grande constructions, mais pour les utilisateur, notre site doit être toujours facile, distinct, vite (ça dépend le paye, vous comprenez...) , amicale, précis et professionnel.